Ce n’est pas un scoop, la nourriture est souvent venue au secours de votre mal-être ou de votre stress en guise de compensation.
Ne rêvez pas, pas la peine d’éradiquer cette compensation avec un bulldozer, ça ne marchera pas. Pas de guérison sans compréhension !

La nourriture vous a aidé, vous a soutenu et a un sens ! Pas la peine de lui cracher dessus ou de vous traiter de tous les noms.
Ne vous calomniez pas de mauvaise volonté, ça n’a rien à voir avec votre détermination.

1) Avant de changer, là aussi il va falloir vous écouter (et faire la paix avec ce qui est !)

Quelle émotion vous porte vers quel aliment ?
Vous vous ennuyez, vous mangez quoi ?
Vous êtes triste….
Vous être angoissé(e)…
Vous êtes énervé(e)…
Vous manquez d’amour…
Vous avez besoin de reconnaissance…
Vous avez envie de changer de vie mais cela vous fait peur…

Si ce n’est pas une vraie faim, de quoi avez-vous vraiment besoin et que vous tentez de combler en mangeant sans faim ?

Comment pourriez-vous satisfaire vos besoins sous-jacents autrement ? Laissez les idées germer tranquillement sans pression. Et commencez par un tout petit pas et non de grandes résolutions.

Le moment est venu de vous faire confiance et de faire confiance en votre véhicule de vie qu’est votre corps : tout y est !

2) Votre tâche pour l’avenir

  • Gardez votre carnet d’observation bien en vue.
  • Notez ce que vous mangez, à quelle heure et avec qui…
  • Allumez tous vos sens et remarquez les sensations corporelles avant de manger
  • Évaluez votre niveau de faim avant de manger (0 à 5)
  • Vérifiez le type de faim qui vous anime
  • S’il s’agit d’une fausse faim, quelle émotion ressentez-vous ? Quel est le besoin derrière ?
  • Observez votre discours mental intérieur.
  • Prenez le temps de vous asseoir
  • Coupez les distractions
  • Évaluez votre degré de satisfaction après avoir mangé (5 à 10)
  • Évaluez vos sensations de confort après le repas et faites des tests

Conclusion :

Au cours de ces 7 clés, finalement, un seul mot d’ordre : vous écouter et vous observer avec bienveillance afin de cerner les différents appétits qui vous animent et vous diriger vers l’appétit du corps.
Si la nourriture vous a aidé à traverser les épreuves de la vie, soyez reconnaissant envers elle. Vous juger ne fera qu’aggraver la surabondance alimentaire : l’esprit a une tendance pernicieuse à se dire « foutu » pour « foutu » autant en rajouter une couche.

Au travers de ce chemin, se trouve l’occasion d’apprendre à vous aimer avec vos imperfections, de découvrir votre potentiel, de trouver ce qui vous ferait vraiment plaisir. Montaigne disait si bien : Cultiver son jardin en se résignant à sa perpétuelle imperfection »

Ne cherchez pas l’amour au mauvais endroit ou à l’extérieur, apprenez à le découvrir rayonnant en vous.

Je vous souhaite une douce semaine à l’écoute de vous-même !

Florence
Pour potentialiser votre bien-être et vous aider à devenir la meilleure version de vous-même !

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